Commedia, 2016, extraits



3  

C’est une presse qui m’étouffe et m’enserre, 
Une forge, un marteau qui me travaille,  
Me fouraille jusque dans les profondeurs. 
Le mal de toi est comme l’ouvrage du fondeur, 
Par quoi je prends forme au feu.   



12

Tu es toi
Et tu es mon bien.
Sois toi-même,
Je n’attends rien de plus.

Quand tu es toute toi,
Tu es tout pour moi,
Tout,
Et je suis mien.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Je serais curieux de recevoir de votre part un commentaire.